de vous à moi
petit aperçu
oui, Seigneur, un signe
pour ne pas désespérer
et continuer à aimer
pour avoir l'espoir
même dans le désespoir
et me rappeler toujours
de ton unique amour
amour agape
qui ne sappe
amour immérité
qui m'est donné
grâce infinie
qui nous lie
le vrai amour?
Effectivement, le vrai amour rend responsable, comme Dieu nous amène à maturité dans notre vie spirituelle; il nous donne des parents afin qu'ils soient nos tuteurs, pour que l'on pousse "droit".
Je crois qu'il est très difficile d'être parents, comme il est aussi difficile d'être l'enfant de ses parents; en tous les cas, notre colonne vertébrale est Dieu et si d'aventure, nous avons manqué d'autorité - et non pas de pouvoir - étant enfant, l'Eternel ne nous ayant pas laissé orphelins, il palie à tous nos besoins.
Très personnellement, je m'insurge contre le fait de dire de suite: les parents ont démissionnés, c'est pour cela que ce garçon ou cette fille est ainsi: en effet, je ne suis pas d'accord, parce qu'il est à noter que si le père et la mère ont eu beau tout faire, si l'enfant refuse l'héritage éducatif et spirituel paternel et maternel, les intéressés ne peuvent rien faire, comme le Seigneur essuie aussi le refus du salut de la part de certains.
Et je fais également une distinction entre faire preuve d’une autorité saine sur ses enfants et le fait d’exercer un pouvoir d’autorité – ce qui est malsain, parce que dysfonctionnel – voire une manipulation pour amener sa progéniture à obéir quel que soit l’ordre.
Là est aussi la différence entre vouloir plaire au Seigneur parce qu’on sait qu’il nous aime et que s’il nous réprimande, c’est toujours pour notre bien – à la différence de nos parents, lui ne se trompe jamais – donc, nous suivons les commandements de la parole par amour et non pas par obligation.
Et on ne vit pas dans la peur de l’Eternel, mais dans une relation basée sur de la crainte, fondamentalement différente, puisque la crainte de l’Eternel découle du fait de savoir que Dieu est trois fois saint et que la peur paralyse totalement le dialogue.
Je pense qu’on ne peut pas être copain-copain avec Dieu et ne prendre que ce qui nous plait dans son enseignement.
à quelle heure?
je suis née en 1958, à 7 mois et demi et logiquement, médicalement, je n'aurais jamais dû vivre; il a été pratiqué sur ma petite personne - 2,200kg - une transfusion presque complète à ma naissance, vu que le sang de mes géniteurs n'étaient pas compatibles;
mes parents se sont mariés civilement et ne voulaient pas l'être à l'église, parce qu'incroyants; cependant, afin que je fusse baptisée, ils sont passés devant le pasteur, sans croire; à 16 ans, ils m'ont obligée à faire ma communion, malgré qu'ils étaient toujours farouchement opposés à Dieu; j'ai résisté parce que je ne croyais pas en Dieu et aussi parce que cela me paraissait hypocrite de le faire lorsqu'on est athée, juste parce que cela ce fait, ou plus particulièrement: parce que cela ne se fait pas de ne pas le faire socialement, que l'on croit ou pas;
cependant, devant, entre autre, l'argument choc: obéis à tes parents - en langage chrétien: sois soumis à tes parents - j'ai cédé et je l'ai fait; sans aucune conviction; ensuite, j'ai eu le meilleur repas - une fondue chinoise - de ma vie avec réunion familiale à la clé, juste comme cela, juste une fête de plus, sans que le principal intéressé ait droit à la parole; par contre, j'ai tenu mordicus à ne pas prendre la sainte-cène et là mes parents n'ont rien pu faire: je leur ai à nouveau signifié que ne croyant en rien, je n'allais pas manger de ce pain-là et boire de ce vin; donc, ils n'ont pas pu me convaincre de céder, parce que je leur ai dit qu'ils m'avaient appris à ne pas mentir et que si je le faisais, ce serait un très grand mensonge;
inconsciemment, je sentais que cela était le plus grave que j'aurai pu faire et dire; en 1985, je suis née à nouveau, comme Nicodème; en 1986, j'ai pris pour la première fois la sainte-cène afin de sceller symboliquement mon appartenance à Jésus et aussi afin que l'assemblée de Dieu sache en qui je croyais maintenant;
en 1996, j'ai été baptisée par immersion pour accomplir ce que la parole de Dieu demande - la bible - et non pas les hommes, donc crucifier le vieil homme en moi - et afin aussi que mes frères et soeurs en Christ puissent avoir concrètement le témoignage de mon engagement à suivre le Seigneur avec l'aide du St-Esprit;
je demande chaque jour à mon Seigneur qu'il me donne la force de mourir à moi-même afin de pouvoir suivre l'exemple du Christ; entre-nous, je n'y arrive pas toujours; en résumé, je demande à l'Eternel de m'aider dans ma marche et mes démarches, dans mes forces et mes faiblesse, pour que ma vie soit vécue selon sa volonté, que tout soit fait en son nom, pour l'honneur de son Fils;
j'ai le privilège, comme tout enfant de Dieu, d'avoir une relation personnelle avec mon Sauveur; je fais donc partie de l'Eglise du Christ, corps formé par mes frères et soeurs en Jésus-Christ, Yéchoua pour mes frères israëlites nés à nouveau;
je ne me dis d'aucune dénomination religieuse, parce que pour moi, je ne suis plus naturellement, officiellement, humainement parlant protestante de fait, mais chrétienne de coeur par ma conversion.
Commentaires
-
- 1. Gino AMOROSO Le 02/06/2010
En 1957,’ (alors que je me trouvais en Italie du sud chez mes
grands-parents paternels pour des raisons de santé) j’accompagnais ma
cousine Adoloratta pour assister au culte le dimanche matin après
que celle-ci m'y ait invité à le faire car elle m’avait pris en
affection.Il faut dire qu’elle était de l’âge de ma mère et qu’elle avait une deux
enfant dont une fille légèrement plus jeune que moi.
Le pasteur de cette eglise baptiste était habillé avec une « blouse » grise assez austère et il prêchait, de façon virulente sur le péché, il
fustigeait tellement son auditoire que j’ai eu très peur, je me suis
enfui tellement j’avais été perturbé par ses paroles tranchantes.
Une autre fois, Dieu me parla alors que je me trouvais dans l’eglises
qui se trouvait en face de la maison de ma grand mère, il m’appela
par mon prénom, mais encore une fois, vue mon jeune âge,
je pris la poudre d’escampette, et n’en parla à personne de peur que le
curé ainsi que toute ma famille ne me prennent pour un insolant, un
menteur et un fou !
Alors que je me trouvais sous un crucifix assez ancien et alors que je
m’apprêtais à faire une nouvelle farce, jésus m’interpela et m’appela
par mon prénom.
J’ai éte impressionné par cette appel, je croyais que c'était le prêtre
qui me renvoyait l'assesseur, mais je me suis rendu compte que cela
n'était pas le cas. Et cette voix douce, pleine d'amour est toujours
dans mon oreille.
Il faut dire aussi que j’étais assez espiègle et que je me délectais de
mes farces et des facéties que je faisais à ce prêtre, qui me
fustigeait, et me traitait de « piccolo malscalzone di francese
»
Une fois ma grands mère paternel m’avait mis en garde et avait dit que
si je ne me tenais pas tranquille, elle parlerait aux anges dans la
langue inconnue qu’elle pratiquait souvent lors de ses prières, j’appris
par la suite que cela s’apparentait à : la glossolalie, don
spirituelle que l’esprit saint prodigue aux saints et ce malgré qu’elle
soit « catholique » de tradition.
Lorsque j’eu atteint l’âge de dix ans, Je souhaitai rentrer au
petit séminaire croyant que par ce biais, j’aurai approché dieu, et le
filme espagnol que j’avais vue « Marcelino pane et vino » m’avait
marqué très fortement.
Mais la maladie : (la tuberculose-osseuse et pulmonaire, le rachitisme
etc..) et certains déboires tant familiaux que physiques empêchèrent
cela.
Ensuite, dieu intervint dans ma vie à plusieurs reprises sans que je
comprenne qu’il avait agit dans mon intérêt. Il évita que je ne sois
criblé de balles à L’armée, ou n’explose a cause d’une grenade
offensive …. ne sois écrasé, noyé , Electrocuté, etc..
Une autre de mes cousines germaine qui s’était converti dans une eglise
évangélique de Grenoble tenta de me faire part de sa foi et de son
experience, mais je contenais a être réfractaire et je me suis engagé à
lui faire renier ses engagements et lui faire quitter son assemblée
persuadé qu’elle s’était fourvoyée et qu’elle était tombée dans une
secte.
Pourtant, je lui tenais tête, et je refusais de le reconnaitre comme
seigneur. Bien plus encore, je m’acharnais, (vu mes déboires et ma vie
que je considérai comme assez affligeantes, de mon physique peu avenant,
malingre, chétif, prédisposé à subir toutes les maladies), à prouver
son inexistence, car je ne pouvais croire qu’un dieu dit « d’amour »
puisse exister et me laisser vivre dans les afflictions, la maladie, le
rejet, les injustices et les difficultés et permettre à son fils de
mourir sur la croix. J’avais beau prier la « madone » "les saints
du paradis, etc.…je n’arrivais pas à obtenir de repris, de
satisfactions ni de guérisons.
Des que je l’ai pu, pensant être une issue à mes problèmes, Je me suis
mis à étudier les autres religions, approcher l’ésotérisme,
comprendre le bouddhisme etc.
Suite à la énième séparation de mes parents, qui ne cessaient de
disputer pour diverses raisons, - il faut dire aussi que l’époque,
n’était, tant sur le plans matériel que financier, pas des plus
favorables et privilégiait souvent les conflits dans la famille et les
coups pleuvaient.
Suite donc aux differents conflit matrimoniaux de mes parents et des
ressources financières assez faibles de ma mère, suite au départ de mon
père, les assistantes sociales, qui déjà n’appréciaient pas les
étrangers que nous étions et les émigres italiens de surcroit, qui
venaient : disait-on, voler et manger le pain des français, m’avaient
placé dans une institution religieuse tenue par des jésuites afin
,avançaient- elles, de me forger le caractère et éviter que je ne
devienne un « délinquant » plus chevronné.
Il faut dire qu’à cette époque les enfants n’avaient pas droit au
chapitre, le simple fait de chaparder une pomme dans le jardin du voisin
pour la manger, était considéré comme un délit et faisait de nous des
délinquants primaires et nous devions, conformément à l’ordonnance de
1945, être sanctionnés fortement pour cela.
Cette même ordonnance aujourd'hui, interprétée de manière tout à fait
autre par les magistrats, permet aux enfants d'aujourd'hui de commettre,
les incivilités les plus extravagantes et les incivismes des plus
inconcevables, sans qu'ils puissent être poursuivit en justice.
Il y avait ce que l’on appelait encore des « : maisons de corrections
» pour les mineurs récalcitrants et on y restait jusqu'à la majorité
qui était de vingt et un an.
Pour avoir « maraudé » une pomme sur un arbre, on se rentrouvrait
« embastillé » et envoyé dans une maison de correction
pour mineurs !
Ces prélats, nous corrigeaient physiquement et moralement à
la moindre incartade ou chaque fois que nous dérobions aux
regles stricts et rigides qu’ils avaient mis en place pour nous éduquer
ou que nous ne savions pas nos leçons, de latin ou grec ou
autres.
Ces pratiques aujourd’hui sont condamnables et les auteurs seraient
poursuivit pour mauvais traitements envers mineurs par personnes ayant
autorités.
Cela allait des coups avec férules sur le dos ou les cuisses à la
privation de nourriture dans un cachot ou de
sommeil avec pour obligation de réciter a genoux
un nombre incalculable de :confiteor, de pater-noster et d’ave maria.
J’avais aussi de la haine pour mon père qui nous frappait, lui aussi, et
ce de manière quotidienne et sans aucune raisons valables, cela
m’irritait de voir que ma mère, ne s’interposait pratiquement jamais et
qu’elle ne levait pas le petit doigt pour nous protéger ; Cela a durée
des années.
Ce n’est que chez ma grand mère maternelle qui était remplis d’amour et
de compassion pour moi que je trouvais un peu de réconfort et
d’affection chaque fois que je m’échappai de la maison, pour échapper à
la colère de mon père, c’est pourquoi à chaque fois que je ne supportai plus
les coups, je me refugiais chez elle. Elle qui était seule capable
de s’opposer à mon père.
Je demeurerais chez elles quelques semaines ou quelques mois, et je
devais ensuite retourner chez moi, cela me procurait des angoisses, du
stresse et de la peur, qui a encore aujourd’hui des séquelles.
Aujourd’hui, encore j’ai de nombreuses cicatrices sur le Corp.
qui me rappel cette époque et les coups enduré.
J’ai pardonné depuis à mon père, car j’ai compris et su
quels étaient les raisons qui avaient motivé toutes ses blessures a mon
encontre, comme j’ai pardonné à ces prêtres psychorigides, qui m’infligèrent
aussi d’atroces souffrances et blessures tant sur le plan physique,
que moral.
Même si j’ai visité différentes assemblées et de confessions
différentes, la souffrance dans je me trouvais ainsi que la dépression
dû à mon divorce ne faisait qu’augmenter mon aversion et ma haine pour
dieu.
Je n’avais jamais été un dépravé, ni un délinquant, je n’avais pas fait
de choses vraiment répréhensibles hormis me rebeller contre « : l’ordre
établie » et je subissais des choses qui dépassaient mon
entendement alors cela m’irritait, me frustrait et me consternait, cela
me poussait à détester dieu, qui de mon point de vue n’intervenait pas
et privilégiait trop les voyous, les méchants, les mécréants et toutes
sortes de délinquants, menteurs, tricheurs etc.… et me
laissait moi en proie aux difficultés insurmontables et subir
souffrances et afflictions en tout genre. !
Pourquoi ces discriminations si vraiment dieu existait ? Les raisons
existentiels m’interpelaient et je n’avais pas de réponses à mes
questionnements.
Je me suis dit que je me devais de trouver une faille dans la bible qui
pourrait m’aider à démontrer l’inexistence de Dieu,( celui de la
religion) mais le seigneur ayant de l’humour a permis que j’étudie sa
parole plus en profondeur, afin que je puisse le découvrir et le
connaitre.
Je me suis mis à étudier, la bible, le talmud, le coran, le
bagavagitha, le Zohar, Taôisme, etc.…Mais je n’avais pas reçu à ce
moment-là , la révélation par l’esprit saint, ce qui m’affligeait, car
mon intellect ne parvenait pas à parvenir à la vérité, et ce malgré mes
lectures assidue et mes diverses études en philosophie.
Un jour, un ami postier, avec qui je travaillais, et qui me parlait
depuis des mois et des mois du seigneur, m’invita à l’accompagner dans
son assemblée.
Pour lui faire plaisir et pour ne plus l’entendre me rabâcher tous les
jours, son prêche, j’acceptais.
A cette époque c’était le pasteur Christian Ceytre qui était le
responsable et il avait succédé au pasteur Follain.
Des mois pus tard, j’acceptais une autre invitation d’un autre collègue
postier qui depuis est devenu Pasteur aux assemblées de Dieu,
Là, un frère de cette assemblée, que je ne connaissais pas, « Henri
Arpin » d’origine Suisse et qui avait été pasteur durant
vingt ans en Afrique, me parla de la part du seigneur.
Il détailla ,après avoir durant un bon moment parlé dans une langue
inconnu pour moi, tout ce que je vivais depuis assez longtemps en
précisant que Dieu allait intervenir en ma faveur qu’il avait entendu
mes prières, et mes craintes, et qu’il allait donner une suite
favorable.
Interloqué par la manifestation surnaturelle et peu orthodoxe de cette
interpellation, j’ai voulu en savoir un peu plus et s’il y avait une
explication rationnelle, alors je me suis adressé au pasteur titulaire
en place à l’epoque qui était le pasteur « Jacques Gloagen »
professeur de théologie et d’apologétique, docteur de la parole et
écrivain.
Je lui ai demandé aussi si je pouvais revenir et s’il pouvait
m’instruire sur mes carences en ecclésiologie et en théologie.
J’ai donc ensuite, passé mes diplômes d’études bibliques en 1989 et
en théologie en 1990-91.
Depuis j’ai donné ma vie au seigneur, j’ai entrepris des études
bibliques et théologiques afin de mieux connaitre et cerner la parole.
Je me suis fais baptisé d’eau au lac de saint Cassien dans les alpes
maritimes en 1984 avec andré Raynaud devenu entre temps
,lui aussi, pasteur a Martigues et le pasteur Gloagen a
qui je dois beaucoup tant sur le plan de ma progression spirituelle que
sur ma formation théologiques et exégétique.
Depuis, j’ai connu une foule de Pasteurs des plus éminents au plus
anonymes, tous ont participé à leur manière à ma formation et à mon
edification.
Ensuite, Dieu a permis que je puisse me remarier avec une femme
formidable, qui m’a aidé et soutenu a surmonter bien des tourments et
afflictions aux quels nous avons été confronté durant plus de vingt ans
et avoir une fille, ce que je désirais depuis très longtemps.
J’ai compris depuis lors bien des choses, et pourquoi Dieu m’avait
permis de traverser autant d’épreuves, de souffrances, d’afflictions, de
rejets, c’était pour me former.
Et je le remercie aussi de m’avoir guéri de nombreuses maladies diverses
et invalidantes dont la liste exhaustive serait trop longue à énumérer
mais dieu dans sa sagesse a permis que je puisse continuer à souffrir de
nombreux autres maux afin que je puisse ne pas œuvrer avec orgueil,
ostentation et fatuité ! Voilà de manière assez concises mais écourtée
l’histoire de ma vie.
Louis
-
- 2. Gladys Le 02/06/2010
heureusement que le Seigneur regarde au coeur, à l'être et non au paraître, n'est-ce pas! merci pour ce témoignage Louis;
il est vrai qu'il existe un racisme aussi bien de personne, de religion que de profession: je me suis rappelée, en lisant tes lignes sur le fait que tu étais d'origine italienne, un excellent sketch de Fernand Rainaud: le boulanger....
il est bon de savoir que le Seigneur nous connaît dès avant même notre naissance; il est bon également de savoir que tout enfant né est désiré et que Dieu ne se trompe jamais;
c'est toujours les hommes - pris dans le sens général - qui s'éloignent et éloignent de Dieu d'autres hommes par leurs agissements - entre autre par de mauvaises interprétations de la parole ou par des sévices au nom de la religion - mais nous savons qu'un tel témoignage n'est pas l'exemple d'amour donné par le Père céleste; personnellement, je lui demande de me pardonner mes péchés dysfonctionnels, même ceux commis par omission, afin de pouvoir recommencer à zéro chaque jour;
il est vrai qu'on ne sait pas toujours le pourquoi du comment de nos souffrances, morales ou physiques, mais nous avons l'assurance qu'il est toujours là avec nous, comme il nous l'a promis, quoi qu'il arrive ou nous arrive, dans la maladie comme dans la santé;
merci encore pour tes lignes et heureuse de t'accueillir ici. -
- 3. Gladys Le 02/06/2010
mmmmje crois que tout péché est disfonctionnel, en fait....
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