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Réfugiés politique, économique, faisant partie de religions diverses, etc.

Le vrai combat spirituel se fait "contre le diable"

Prier pour nos ennemis, priez pour qu'avant d'être tués par quiconque, que ce soit par la lettre ou par les actes, au nom de la religiosité, nos tortionnaires aient entendu parler de leur Créateur - le seul roi des rois, l'universel


Prier pour ressembler à Jésus-Christ (Yeshua pour les juifs messianiques) qui a donné sa vie pour tout un chacun, prier pour que des personnes appartenant à daesh et toutes les autres n'ayant pas encore reçu leur Sauveur se convertissent à Lui


Voilà notre combat spirituel actuel; il n'y a pas lieu de légaliser l’impensable, il n'y a pas lieu de détruire l'humain; il y a des acceptations au sein de l'église chrétienne qui sont aberrations selon la parole de Dieu


Prions pour que les âmes se convertissent afin que Dieu ait son nombre de génération en génération


La victoire ne sera donnée à aucun homme, seul Dieu en aura les honneurs; seul son plan se fera


En ce qui concerne le peuple israélite,rappelons-nous de Zacharie, car en effet, vu que la guerre est spirituelle entre les demi-frères, il leur sera donné la victoire selon la volonté de l'Eternel et ils reconnaîtront Celui qu'ils ont perçé


Fauter égal peur: nous demandons pardon chaque jour au Seigneur, même pour les pêchés commis par omission


Alors franchement, vivons les vraies valeurs et relations au Créateur, ni par loi, ni par religiosité


Seule l'acceptation du Sauveur "sauve" et rien d'autres et ce par pur grâce et cela est donné à tout un chacun, car Dieu ne fait acception de personne: et celui qui voudra garder sa vie la perdra


Alors oui, seul l'Esprit peut nous amener à s'oublier, car le plus important est le salut de son prochain, quel qu'il soit, afin que l'honneur et la gloire soient rendus à Dieu

Cette réflexion s'est faite à la suite des actualités du début septembre et de la mi-septembre 2015

Alors, on a la chance de n’être pas dans un pays en guerre (pour l'instant); perso, je trouve que l'on se doit d'accueillir les personnes en détresse; mais évidemment, pour cela, il faut accepter de partager, on m'a dit que si je faisais de la politique, je serais plutôt d'un parti de gauche; mais je n'en fais pas..... 


Il est tout de même étonnant que personne ou presque ne pense à ce que cette situation peut aussi leur pendre au bout du nez à un moment donné; donc de se trouver être des réfugiés; et quelle serait donc la réaction d'avoir une porte hermétiquement close en face de soi; oui, il faut s'occuper de tous les indigents, quels qu'ils soient, tout au long de l'année, dans toutes les catégories de population et aussi prendre soin des réfugiés; et notons que pour être malhonnête (parce que la question est posée de savoir s'ils sont véritablement réfugiés politiques ou économiques), il n'y a pas besoin d'être étranger pour l'être, donc pour profiter du système; et effectivement, les terroristes de tout poil passent déjà la frontière

Par ailleurs, on notera que la nature humaine n'est pas prêteuse, n'est-ce pas; et que l'égoïsme prévaut; ce qui est effarant pour certains, c'est que ce sont des fils d'immigrés des pays limitrophes qui rejettent les personnes actuelles et qu'ils oublient qu'eux-mêmes ont souffert d'être traités d'étrangers; en plus, à la dernière guerre, il y a eu également à recevoir des réfugiés de guerre, et pas seulement politiques, n'est-ce pas

L'humain a la mémoire courte; personnellement, mon mari a été au chômage; il a accepté d'avoir CHF. 1000.-- de moins par mois au lieu de gamberger et de ne pouvoir pas retrouver un travail - ce qui a eu une grande incidence sur les finances, vous vous en doutez bien - mais il l'a accepté, car il est préférable d'avoir une activité professionnelle, d'en avoir la chance d'ailleurs; mais il s'est fait incendier en s'entendant dire qu'il cassait le métier, que c'était la porte ouverte à n'importe quoi; mais est-ce que ces mêmes personnes avaient accepté de nous aider financièrement pendant ce temps d'inactivité; et bien non et nous avons dû faire appel aux cartons du coeur; autant dire que lorsqu'on a été à flot, on a renvoyé l’ascenseur à cet organisme; bien des personnes du pays de Suisse - et sûrement d'ailleurs aussi - ne conçoivent pas également d'être moins rémunérés: certains même préfèrent rester à la charge du social parce qu'ils ont un plus haut salaire; il y aurait bien des choses à dire; et bien souvent, les hommes sont orgueilleux et ne veulent pas d'un petit boulot, voire d'un boulot pénible: ils le laissent aux étrangers bien souvent; pas toujours; et pour les hauts-postes qualifiés, ils rechignent aussi devant les conditions de travail; alors franchement, de dire qu'ils nous volent notre pain - cela me fait pense au sketch de l'humoriste Fernand Reynaud - c'est trop facile

La question - la vraie - est posée: comment réagirions-nous à la place de ces gens dont personne ne veut; aimerions-nous que l'on nous fasse tout pareil? Personnellement pas et ayant été SDF dans mon propre pays - ce qui a été très dur - je ne souhaite à personne d'être rejeté de pareille façon; bien sûr, plus facile à dire qu'à faire; mais sachez qu'on a accueilli des réfugiés lorsque nous avons été gérants de paroisse et nous ne l'avons jamais regretté; ils nous ont apporté une vraie richesse humaine et nous avons plus reçu que nous n'avons donné


Je crois qu'on a dû vivre tout cela pour être sensibilisé à ce propos; et d'avoir aussi appris qu'il leur est interdit pendant trois mois de travailler: souvent, on ne voit que le fait qu'ils ne font rien, qu'ils sont là, sur les bancs publiques, à discuter entre eux; et lorsqu'on sait donc qu'ils ne peuvent pas travailler selon les lois du pays qui les accueille, cela remet l'église au milieu du village, si je puis me permettre l'expression; lorsqu'on a eu "notre ami" chez nous, il a voulu aider mon mari professionnellement, mais on ne pouvait pas l'accepter; il voulait nous remercier ainsi de lui avoir donné gîte et couvert; on lui a dit que pour nous, il était et restait une personne à part entière, même s'il était en inactivité

On a accueilli aussi d'autres gens et l'un d'eux nous a raconté ce qu'il avait vécu comme torture: et bien, mon grand regret, est de ne pas l'avoir compris, et il a vu venir la peur de lui dans nos yeux au fur et à mesure de son récit, car on le prenait pour fou; il n'est pas possible de recevoir l'horreur en face, comme cela, sans y être préparé; son compagnon a vu notre affolement et il lui a signifié de se taire; ce n'est qu'après, malheureusement, qu'on lui a demandé pardon de ne pas avoir compris de suite, car ce qu'il nous a dit nous paraissait inconcevable, irrecevable; l'horreur à 100%; mais il n'en a malheureusement plus jamais discuté; cela me fait aussi penser à l'holocauste; en entendre parler est une chose; avoir une personne en face qui vous raconte son vécu en est une autre; merci pour l’intérêt que vous porterez à ces lignes

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